Il existe de nombreux outils, gratuits et payants, pour surveiller ce qui se dit d’une marque, d’un service,… sur internet. Si on prend en compte la capacité de les combiner, les possibilités ne manquent pas.
Face à toute cette offre, quels sont les critères de choix d’un système de veille ? (ce n’est pas exhaustif et ce sont les miens) :
– Qu’il soit le moins couteux (gratuit tant qu’à faire);
– Qu’il soit le moins chronophage ;
– Qu’il soit le plus intuitif et le plus simple à l’usage ;
– Qu’il couvre le plus de sources tant sur le web invisible que sur les réseaux sociaux ;
– Qu’il produise peu de bruit (L’information remontée est faible en quantité et forte en qualité) ;
– Qu’il fournisse des outils de synthèse et d’analyse ;
– Qu’il permette de diffuser les résultats.
Si de nombreuses personnes au sein des entreprises ont compris l’utilité de la veille, beaucoup ne franchissent pas le pas car estiment ne pas posséder les compétence ou le temps. Et il n’y a malheureusement pas de chargé de veille dans toutes les entreprises.
Workstreamer est un outil qui a été conçu pour ce type de public. Je le teste depuis quelques jours et il me bluffe assez car il remplit très convenablement les points cités plus haut et un peu plus…
La société qui propose ce service est basée à Austin et emploie actuellement 12 personnes. Elle met à disposition son produit, gratuitement, en version béta depuis le mois d’avril. Elle a bénéficiée d’une levée de fond de 3,5 millions de dollars le 27 juillet dernier, ce qui est de bons augures pour la suite.